Information destinée aux spécialistes en allergologie, en cardiologie, en dermatologie, en hépato-gastro-entérologie, en oncologie, en vasculaire, en rhumatologie, en médecine interne et en pédiatrie
Une augmentation de l’incidence de tumeurs malignes, d’événements indésirables cardiovasculaires majeurs (MACE), d’infections graves, d’évènements thromboemboliques veineux et de mortalité a été observée avec le traitement par inhibiteurs de JAK par rapport aux anti-TNF-alpha chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde (PR) présentant certains facteurs de risque.
Ces risques sont considérés comme des effets de classe et sont applicables à l’ensemble des indications approuvées des inhibiteurs de JAK dans les maladies inflammatoires et dermatologiques.
Ces inhibiteurs de JAK ne doivent être utilisés qu’en l’absence d’alternative thérapeutique appropriée chez les patients :
Les recommandations posologiques sont réajustées pour certains groupes de patients présentant des facteurs de risque.
Un examen cutané régulier est recommandé pour tous les patients.
Les prescripteurs doivent discuter avec les patients des risques associés à l’utilisation des inhibiteurs de JAK.
Ces risques sont considérés comme des effets de classe et sont applicables à l’ensemble des indications approuvées des inhibiteurs de JAK dans les maladies inflammatoires et dermatologiques.
Ces inhibiteurs de JAK ne doivent être utilisés qu’en l’absence d’alternative thérapeutique appropriée chez les patients :
- âgés de 65 ans et plus ;
- fumeurs ou ayant fumé pendant une longue durée ;
- présentant d’autres facteurs de risque cardiovasculaire ou de tumeur maligne.
Les recommandations posologiques sont réajustées pour certains groupes de patients présentant des facteurs de risque.
Un examen cutané régulier est recommandé pour tous les patients.
Les prescripteurs doivent discuter avec les patients des risques associés à l’utilisation des inhibiteurs de JAK.