Information destinée aux oncologues, hématologues, gastro-entérologues, gynécologues, médecins ORL, radiothérapeutes, sénologues, pharmaciens hospitaliers et laboratoires d’analyse de biologie médicale (à l’hôpital et en ville)
- Chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée ou sévère, les taux sanguins d'uracile utilisés pour le test de dépistage par phénotypage d’un déficit en dihydropyrimidine déshydrogénase (DPD) doivent être interprétés avec prudence.
- Une altération de la fonction rénale est susceptible d’entraîner une augmentation des taux sanguins d'uracile.
- Par conséquent, il existe un risque accru de diagnostic erroné du déficit en DPD, ce qui peut entraîner un sous-dosage en 5-FU et conduire à une réduction de l'efficacité du traitement.