Information destinée aux spécialistes en rhumatologie, en dermatologie, en hépato-gastro-entérologie et en médecine interne.
Dans l’essai clinique terminé (A3921133) chez des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde (PR) âgés de 50 ans ou plus et présentant au moins un facteur de risque cardiovasculaire supplémentaire, une augmentation de l’incidence des infarctus du myocarde a été observée en comparaison aux anti-TNF-alpha.
L’essai a également montré une augmentation de l’incidence des tumeurs malignes, à l’exclusion du cancer cutané non-mélanome (CCNM), en particulier le cancer du poumon et le lymphome avec le tofacitinib en comparaison aux anti-TNF-alpha.
Chez les patients âgés de plus de 65 ans, les patients fumeurs ou anciens fumeurs, les patients présentant d’autres facteurs de risque cardiovasculaire et les patients présentant d’autres facteurs de risque de cancer, le tofacitinib ne doit être utilisé, que si aucune autre alternative thérapeutique appropriée n’est disponible.
Les prescripteurs doivent discuter avec leurs patients des risques associés à l’utilisation de XELJANZ, notamment l’infarctus du myocarde, le cancer du poumon et le lymphome.
L’essai a également montré une augmentation de l’incidence des tumeurs malignes, à l’exclusion du cancer cutané non-mélanome (CCNM), en particulier le cancer du poumon et le lymphome avec le tofacitinib en comparaison aux anti-TNF-alpha.
Chez les patients âgés de plus de 65 ans, les patients fumeurs ou anciens fumeurs, les patients présentant d’autres facteurs de risque cardiovasculaire et les patients présentant d’autres facteurs de risque de cancer, le tofacitinib ne doit être utilisé, que si aucune autre alternative thérapeutique appropriée n’est disponible.
Les prescripteurs doivent discuter avec leurs patients des risques associés à l’utilisation de XELJANZ, notamment l’infarctus du myocarde, le cancer du poumon et le lymphome.
RISQUES MEDICAMENTEUX
Médicaments
Publié le 29/03/2021
Xeljanz (tofacitinib) : les résultats préliminaires d’un essai clinique indiquent une augmentation du risque d’évènements cardiovasculaires et de tumeurs malignes en comparaison aux anti-TNF alpha
Information destinée aux spécialistes en rhumatologie, en dermatologie et en hépato-gastroentérologie