Qui sommes-nous ?
L'ANSM en bref
Nos engagements
Nos missions
Notre périmètre
Notre organisation
Déontologie et transparence
Publications institutionnelles
Publications scientifiques
Rejoignez-nous !
Notre agenda
 
Actualités
Nos articles
Nos campagnes
 
Bulletin officiel des actes, décisions et avis
Décisions institutionnelles
Décisions liées aux médicaments
Décisions liées aux produits sanguins et autres produits biologiques
Décisions liées aux médicaments dérivés du plasma
Décisions liées aux dispositifs médicaux et dispositifs médicaux de diagnostic in vitro
Injonctions
Décisions de police sanitaire
Sanctions financières
Avis
 
Disponibilité des produits de santé
Médicaments
Dispositifs médicaux et dispositifs médicaux de diagnostic in vitro
Vaccins
 
Vos démarches
Industriel
Organismes notifiés
Professionnel de santé
Patient
Chercheur

Publications institutionnelles

A+ A-
 

Avancer grâce à nos ressources

Quatre directions ressources (Ressources humaines, Administration et finances, Systèmes d’information et Maîtrise des flux et des référentiels) ainsi que plusieurs services (pilotage, qualité et contrôle interne, secrétariat des instances, contrôle interne budgétaire et comptable et politique de défense et de sécurité) nous apportent les moyens humains, financiers et logistiques, ainsi que les méthodes et outils nécessaires pour mener à bien nos différentes missions.

Regards sur.. Des collaboratrices et collaborateurs responsables et engagés

En 2022, l’ANSM a intégré dans son plan de développement durable un ensemble d’actions menées en faveur de l’environnement et de la qualité de vie au travail de ses collaborateurs.
Zoom sur un foisonnement d’initiatives, socle d’une démarche sans cesse enrichie, avec Bérangère Barrau et Didier Leuridan, en charge des services généraux au sein de la direction de l’administration et des finances, Patricia Logghe-Jewkes, responsable de la communication interne à la direction de la communication et de l’information et Amélie Picard, cheffe du pôle qualité de vie au travail et dialogue social de la direction des ressources humaines.

Bérangère Barrau
Cheffe de l'unité logistique et services internes de l'ANSM

Didier Leuridan
Chef du département des services généraux et de l'immobilier de l'ANSM

Patricia Logghe-Jewkes
Responsable de la communication interne de l’ANSM

Amélie Picard
Cheffe du pôle qualité de vie au travail et dialogue social de l’ANSM

  Pourquoi créer un plan de développement durable à l’ANSM en 2022 ?
Amélie Picard : Par sa mission, l’Agence contribue aux objectifs de développement durable tels que définis par l’Organisation des Nations unies. La question de notre utilité sociale ne se pose pas ; elle est inscrite dans l’ADN de notre mission : s’assurer que les produits de santé disponibles en France sont sûrs, efficaces, bien utilisés et favoriser l’accès à l’innovation thérapeutique. De même, nous exerçons nos activités de manière responsable dans le respect de règles éthiques strictes.

Patricia Logghe-Jewkes : L’année 2019 marque un tournant dans notre engagement, porté par un petit groupe de collaborateurs, animés par des convictions personnelles. Nous avons commencé par recenser tout ce qui existait déjà, avec une double ambition : sensibiliser à la problématique développement durable l’ensemble des collaborateurs de l’ANSM et développer de nouvelles actions afin de les intégrer dans des perspectives plus larges. En dressant ce premier bilan, nous avons constaté que nous étions de fait actifs et ce depuis plusieurs années mais que ces initiatives manquaient de visibilité. Dans le même temps, la  crise sanitaire du Covid a profondément changé nos manières de travailler ; nous avons alors décidé d’intégrer toutes nos actions dans un plan global et de mieux les valoriser. C’est à cette époque (en 2020) qu’est née la première semaine du développement durable à l’ANSM, avec l’objectif de faire savoir ce que nous mobilisions déjà en faveur de l’environnement, de nos collaborateurs et de la société en général. Associée à cette première initiative, nous avons ouvert sur notre site Intranet une rubrique baptisée «L’instant durable », pour rendre visible nos actions et les valoriser.
  Quelles sont les principales composantes de ce plan ?
A. P. : Le volet ressources humaines se décline en trois orientations fortes. Tout d’abord, le recrutement durable, avec notre politique d’accueil et de maintien dans l’emploi de personnes en situation de handicap, engagée depuis 2016. Ensuite, le management durable – le second axe – qui s’est notamment concrétisé, en 2022, par notre charte d’équilibre des temps de vie. Enfin, avec des engagements et des décisions fortes de notre direction générale, soutenue par les partenaires sociaux, nous accompagnons plus largement toutes les questions sociétales en lien avec le travail : égalité homme/femme, risques psychosociaux, parentalité, aidants, prévention santé, etc.

Bérangère Barrau : Sur le plan environnemental et social, nous agissons pour limiter les déchets. Lors de nos appels d’offre pour nos restaurants d’entreprise, nous demandons que des plats bio soient servis à chaque repas, et nous veillons au respect de la loi Egalim, qui assure une juste rémunération aux agriculteurs. En ce qui concerne nos espaces de travail, en connexion avec les autres actions sur la qualité de vie au travail, la convivialité est aujourd’hui un axe fort de nos réflexions, avec des aménagements qui y contribuent, comme par exemple une cour arborée sur le site de Saint-Denis que nous avons spécialement aménagée en 2022.

Didier Leuridan : Nous avons investi dans des mesures fortes concernant le chauffage et la climatisation et nous finalisons notre politique de suppression des imprimantes individuelles. Nous avons mené d’importants travaux électriques en installant des éclairages LED et des détecteurs d’éclairage dans tous les bureaux et circulations. 

P. L.-J. : 2022 constitue une année charnière qui illustre notre volonté d’éveiller les consciences et d’aller plus loin dans notre responsabilité sociale et environnementale (RSE). Bien sûr, nous continuons à organiser chaque année notre semaine du développement durable, mais nous travaillons aussi sur la « symbolique », via des actions de sensibilisation au travers d’un programme de journées thématiques. Notre mobilisation pour Octobre rose en est l’un des temps forts de 2022 et manifester ce soutien publiquement sur les réseaux sociaux a été très bien accueilli par nos collaborateurs. Dans nos actions, nous prônons aussi « le petit geste qui change tout » ; cela s’est traduit en 2022 dans notre attitude en faveur de la sobriété énergétique et numérique mais aussi par la création de nos boites à lire et notre première collecte de sang. Nous pouvons aussi citer les collectes qui ont du sens, comme celle qui aide les personnes en recherche d’emploi à disposer de vêtements adaptés, celle qui recycle des  fournitures usagées au profit des enfants dys (dyslexiques, dyspraxiques, dysorthographiques, dyscalculiques, dysphasiques).
Dans nos actions, nous mettons également en avant des initiatives professionnelles portées par l’Agence. Ainsi, en 2022, nous avons par exemple dressé le portrait de deux de nos évaluatrices qui  sont membres du groupe de travail européen « Médicaments et environnement » mis en place par le comité pharmaceutique de la Commission européenne (CE). Son objectif est de proposer des mesures et recommandations pour réduire la pollution dans l’air, l’eau et le sol des médicaments et pour soutenir le développement de technologies de fabrication plus vertes. Les travaux s’intéressent également à la prescription, à l’utilisation raisonnée des médicaments, à la publicité, à la collecte des médicaments restants, ainsi qu’à l’emballage, avec un sous-groupe coordonné par l’Agence pour le réduire et allonger la date de péremption. L’ANSM contribue ainsi à une santé plus respectueuse de l’environnement, dans une démarche One Health.
  Comment comptez-vous développer demain la responsabilité sociale de l’Agence ?
D. L. : 2023 sera consacrée à la mise en œuvre d’une partie des préconisations de l’audit énergétique avec les travaux d’étanchéité des toitures et des façades sur les sites de Saint-Denis et de Vendargues.   Nous poursuivrons le déploiement  de notre plan de sobriété énergétique. Nous allons également entrer dans la phase de construction de nos nouveaux laboratoires sur le site de Lyon, avec l’ANSES, après la pose de la première pierre en octobre 2022. Dans une approche « One Health – une seule santé », ce nouveau bâtiment de 8 300m2 alliera plateformes technologiques de pointe, laboratoires de haute sécurité biologique en santé humaine, animale et végétale et espaces de bureaux, tout en intégrant une dimension durable au regard des matériaux de construction.

A. P. : Au stade de maturité qui est le nôtre, et compte tenu du développement du travail connecté et distanciel, notre priorité est de renforcer nos actions en faveur de la durabilité, notamment via l’accompagnement des pratiques managériales. Nous sommes persuadés que la convivialité et la qualité de vie au travail sont indispensables à la performance globale de l’Agence.

B. B. : En 2023, nous allons prendre une nouvelle mesure forte avec le nettoyage de nos locaux en horaires non décalés avec une clause d’insertion professionnelle et surtout une meilleure qualité de vie pour nos personnels de ménage.

P. L.-J. : Le travail déjà entamé commence à porter ses fruits. Pour la première fois, la RSE figure formellement dans le programme de travail 2023 de l’ANSM, qui concrétise notre Contrat d’objectifs de performance (COP). Nous allons poursuivre et renforcer nos actions durables et solidaires, créer des rendez-vous tout au long de l’année plus souvent et à moindre coût, en phase avec l’envie des agents, qui nous font part de la manière dont elles les enrichissent personnellement. Nous sommes entrés dans un cercle vertueux, source d’adhésion, de fierté et de partage. Un formidable levier pour aller toujours plus loin dans une démarche de progrès continue.

Temps forts

  La présidence du conseil d’administration de l’ANSM est renouvelée
Le conseil d’administration de l'ANSM a été renouvelé en novembre 2021 pour une durée de 3 ans.

Sa présidente est Valérie Delahaye-Guillocheau qui a été nommée par décret du président de la République en décembre 2021.

Jean-Philippe Plançon, membre représentant les associations d’usagers, a été élu vice-président du conseil d’administration le 15 mars 2022. Il est vice-président de l’Alliance Maladies rares et administrateur de France Assos Santé. Le vice-président exerce toutes les prérogatives du président en cas d’absence ou d’empêchement de ce dernier.

Le Conseil est composé de 27 membres, parmi lesquels une place importante est accordée aux parlementaires, aux professionnels de santé et aux représentants des patients.
Les voix sont réparties à parité entre les représentants de l’État (9 membres, 18 voix) et les 18 autres membres disposant chacun d’une voix.

En dehors des représentants du personnel de l’ANSM qui sont élus, les membres du conseil d’administration sont nommés par le ministre chargé de la Santé. A l’exception des parlementaires, leur mandat est de 3 ans, renouvelable une fois.

Le conseil d’administration fixe les grandes orientations de la politique de l’Agence, délibère sur certaines matières liées à son fonctionnement, notamment le Contrat d’objectifs et de performance (COP) [avant sa conclusion avec le ministère des Solidarités et de la Santé sur la période 2019-2023] et adopte le budget.

Il s’est réuni à 4 reprises en 2022 (mars, juin, septembre et novembre), dans un format mixte permettant la participation des membres au conseil d’administration à distance en visio-conférence, comme le permet son règlement intérieur.
  Vers un bâtiment commun Anses-ANSM : la première pierre est posée
Le 19 octobre 2022, l’Anses et l’ANSM ont lancé officiellement la construction de leur futur bâtiment commun à Lyon, avec la pose symbolique de la première pierre. 

Le futur bâtiment accueillera le laboratoire de Lyon de l’Anses et une partie de la direction des contrôles de l’ANSM. Dans une approche « One Health – une seule santé », il alliera plateformes technologiques de pointe, laboratoires de haute sécurité biologique en santé humaine, animale et végétale et espaces de bureaux.

La livraison du bâtiment est prévue courant 2024 et la finalisation du projet global, incluant la plantation d’une mini-forêt, en 2025.

La construction de ce bâtiment commun renforce l’implantation des deux agences sanitaires au cœur du Biodistrict Lyon-Gerland, au sein duquel elles entretiennent de nombreux partenariats. Dédié à la santé et aux maladies infectieuses, ce lieu accueille des établissements publics et privés de renommée internationale.

Chiffres clés

  • 126,85 M€ de budget
  • 940 ETPT sous plafond autorisés en budget initial et 37 ETPT hors plafond
  • 94 % des agents en télétravail
  • + de 150 applications exploitées chaque jour et réparties sur 336 serveurs

Découvrez ci-dessous l'intégralité de la partie "Avancer grâce à nos ressources"

En téléchargeant les sous-parties de votre choix :